Le prince des feuilles mortes a encore frappé, cette fois ci il se veut un peu sessuel : pour ceux qui n'auraient pas fessebouc:

Symphonie de plaisir

Inlassablement, violemment, je vais, je viens,
Entre tes reins creusés par les eaux de l'Olympe;
Mes mains tremblantes ont ôté ce qui était ta guimpe,
Fiévreusement, avant d'agripper tes beaux reins.

J'ai enlacé ton corps, serré tes seins menus,
Plantant avidement mes dents dans ton cou,
Et m'enfonçant en toi par de brutaux à-coups,
Déchaînant en toi une rage longtemps contenue.

J'admire le spectacle de ton corps tendu
Sous les coups de boutoir de mon membre gonflé,
Qui avance dans ton con détrempé,
Petit morceau de paradis chaud et exigu.

Et puis vient l'apothéose de cette symphonie,
Nos visions se troublent et nos gémissements s'unissent,
Et mes mains se crispent sur tes belles cuisses,
Tandis que nous jouissons en totale harmonie.

(Par le prince des feuilles mortes, original ici : https://www.facebook.com/notes/le-prince-des-feuilles-mortes/symphonie-de-plaisir/496239893724318 )

J'en ai fait cette parodie, tellement ca m'a fait rire que ce petit pisse-froid se la joue être non-assexué.

Symphonie "Fais moi souffrir"

Inlassablement, violent, dix secondes déjà,
J'arrive à contenir l'envie d'éjaculer;
De te noyer, ta guimpe et toi
Que tes reins s'en trouvent tâchés.

Je lêche tes seins, je me trouve vulgaire
Même si c'est toi la pute à deux sous !
Enfin, rien à foutre, paf, je te serre
Et tu simules, moi je m'en fous.

Ton corps dodu dont se meuvent les plis,
Ma bite en train de te casser le cul.
Et si je compare ta chatte au paradis,
C'est juste que j'en avais jamais connu.

Et puis vient l'apothéose de cettes cacophonie :
Le dégoût me gagne, je jouis de la pisse
Et mes mains se crispent entre tes varices;
Crie, salope, tu donneras la vie.

Le prince est un ignoble trou du cul

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